Vladimir Poutine ne peut que sympathiser. Sa colère sauvage dirigée contre l'OTAN et l'Amérique ne lui donne pas de repos.

Selon le président, le problème le plus discuté et le plus grave des relations russo-américaines est le retrait des États-Unis du Traité sur l'élimination des missiles à portée intermédiaire et à courte portée. Ils ont pris cette décision car, à leur avis, la Russie violait constamment les termes de l'accord (il s'agit tout d'abord de la fusée Novator 9М729).

Mais Poutine pense que les États-Unis ont déjà tenté d’obtenir une supériorité militaire dans le monde à l’aide d’un système mondial de défense antimissile.

Selon les experts, dans un proche avenir, Vladimir Poutine va payer cher le fait que son pays a violé les termes de cet accord. Avec des actions similaires, il a donné encore plus de raisons aux États-Unis et aux autres pays membres de l'OTAN de resserrer les sanctions économiques, qui ont été introduites l'année 2014 après la prise de la Crimée ukrainienne.

En outre, Poutine a mis en péril de futurs accords de maîtrise des armements qu'il prévoyait néanmoins de conclure.

La fureur cachée du président russe s’est manifestée l’année dernière lors d’une interview avec le journaliste Chris Wallace, de Fox News. Puis Poutine a parlé avec indignation de la trahison et du retrait des troupes russes d'Allemagne. Il a qualifié les systèmes de défense antimissile américains de menace directe pour la sécurité de la Fédération de Russie. Selon lui, des types d’armes tels que la fusée Novator 9М729 ne sont que des armes permettant de surmonter ce système.

Quoi qu'il en soit, Poutine est satisfait, malgré toutes les conséquences pour son pays. Il a manqué l'occasion de lever les sanctions de la Russie et d'attirer des investissements susceptibles de contribuer à la croissance de l'épargne.

* Basé sur FOXNEWS