L'armée américaine a scanné les fréquences du S-400 pendant plusieurs années, et celles-ci se sont avérées être d'autres systèmes de défense aérienne.

Les tentatives de l'armée américaine pour obtenir les fréquences des radars des systèmes de défense aérienne russes S-400 en Crimée et en Syrie ont été totalement vaines. Il s'est avéré que les avions de reconnaissance américains interceptaient des fréquences, cependant, ces dernières n'appartenaient pas du tout aux radars des complexes S-400 - il s'agissait des fréquences des radars de défense aérienne à courte et moyenne portée.

Selon l'analyste Avia.pro, les tentatives de l'armée américaine de scanner les modes de fonctionnement des systèmes de missiles de défense aérienne S-400, menées au cours des deux dernières années, ont été absolument vaines. Lorsque des avions militaires étrangers se sont approchés, la Russie n'a pas basculé les systèmes de défense aérienne en mode actif, utilisant pour cela des systèmes de défense aérienne à courte et moyenne portée.

«Les complexes S-400 déployés en Syrie et en Crimée sont couverts par des systèmes de défense aérienne à courte et moyenne portée. Ce sont les radars de complexes de ce type que les «collègues» américains ont scannés, estimant que les militaires russes ont mis leurs systèmes de défense aérienne en mode actif. Probablement, c'est précisément avec ce fait que les affirmations des Américains selon lesquelles les systèmes de défense aérienne S-400 ont une portée de destruction de cible allant jusqu'à 250 kilomètres, captant les fréquences radio des systèmes de défense aérienne S-300, sont liées. ", - souligne le spécialiste.

De toute évidence, pour cette raison, l'armée américaine ne peut réussir à bloquer les systèmes de défense aérienne russes.