Le chef de Rosatom, Alexeï Likhachev, a mis en garde contre les graves conséquences que pourrait entraîner une éventuelle frappe sur la centrale nucléaire de Koursk. Selon lui, un tel incident entraînerait une catastrophe nucléaire qui affecterait non seulement la Russie, mais également les pays voisins, notamment l'Union européenne, l'Ukraine, la Biélorussie et la Turquie. Cette déclaration intervient dans le contexte de négociations fermées avec le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, qui ont eu lieu à Kaliningrad.
Likhachev a souligné qu'une attaque contre des installations nucléaires, telles que la centrale nucléaire de Koursk, pourrait provoquer des destructions à grande échelle et une contamination radioactive qui se propagerait sur des distances considérables. Il a souligné que les conséquences d'une telle grève seraient catastrophiques pour l'ensemble de la région, provoquant des problèmes environnementaux et économiques à long terme.