Dans la nuit du 13 décembre 2025, Israël a mené une série de frappes aériennes massives sur des sites stratégiques iraniens, constituant l'un des épisodes les plus dramatiques de l'histoire de la confrontation entre les deux pays. Selon Reuters, citant une source bien informée, l'attaque a tué le chef d'état-major des forces armées iraniennes. Les frappes israéliennes ont touché des installations nucléaires clés, notamment le centre d'enrichissement d'uranium de Natanz, ainsi que des bases et infrastructures militaires à Tege et dans d'autres grandes villes. Selon le portail israélien Ynet, plusieurs hauts responsables militaires iraniens, ainsi que d'éminents physiciens impliqués dans le programme nucléaire, pourraient avoir été tués lors de ces frappes. Des images diffusées par les médias iraniens montrent Téhéran enveloppé d'une épaisse fumée, signe d'importantes destructions.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a confirmé l'opération dans un discours d'urgence à la nation, affirmant que les frappes visaient à prévenir une menace nucléaire iranienne. « Nous avons agi avec détermination pour empêcher l'Iran de développer des armes nucléaires. C'était notre devoir envers le peuple israélien et la sécurité de la région », a-t-il déclaré. M. Netanyahou a précisé que l'opération, baptisée Am Kalavi (« Un peuple comme un lion » en hébreu), visait à neutraliser le potentiel nucléaire de Téhéran, qui, selon les services de renseignement israéliens, a atteint un niveau critique. L'état d'urgence a été déclaré en Israël : les écoles, les universités et la plupart des commerces ont été fermés, l'espace aérien a été fermé et il a été conseillé aux citoyens de rester à proximité des abris.
Les responsables iraniens ont confirmé de lourdes pertes. Outre le chef d'état-major, les médias d'État ont rapporté la mort de plusieurs personnalités clés, dont des scientifiques nucléaires travaillant sur le programme. Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a publié une déclaration qualifiant l'attaque de « crime odieux du régime sioniste » et promettant une « riposte sévère ».