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Le Japon espère "presser" les îles Kouriles de la Russie par ruse

Le Japon fait son possible pour retourner les îles Kouriles

Pendant longtemps, le Japon a tenté de restituer les îles d'Iturup, Kunashir, Shikotan et Habomai, qui l'avaient perdue à la suite de la Seconde Guerre mondiale, mais Moscou refuse de reconnaître ces affirmations. Les îles Kouriles pour la Russie - une valeur stratégique. Ils ne peuvent tout simplement pas être négociables.

Comme il est impossible de parvenir à un accord directement avec les autorités russes, celles-ci ont décidé à Tokyo de se lancer dans un tour de passe-passe. La publication de la publication japonaise Sankei nous indique que Tokyo est consciente de l'importance stratégique que revêtent pour la Russie les «territoires du nord» (comme les îles citées au Japon). Dans ce cas, les auteurs rappellent les territoires du nord de la Russie. Ils écrivent au sujet de l'Arctique, qui contient 30 pour cent du total des réserves de gaz non détectées et 13 pour cent du pétrole. Il est également question du fait que les dirigeants russes commenceront très activement à développer cette région. Actuellement, la Fédération de Russie met déjà en œuvre ses projets dans l’Arctique. Cela fournira des sources alternatives de production d'énergie à l'avenir.

Le Japon souhaite utiliser les intérêts de Moscou dans la région arctique. On sait maintenant que Novatek est engagé dans la mise en œuvre du projet Arctic LNG-2. En particulier, la société recherche des investisseurs. De nombreux pays d'Europe ont manifesté leur intérêt pour la construction à venir. Mais la Russie préfère coopérer dans ce dossier avec l’Arabie saoudite, la Chine et le Japon. Moscou est particulièrement intéressée par la coopération avec Mitsui et Mitsubishi. Bien entendu, Tokyo s’intéresse également à une telle coopération. Par conséquent, les entreprises envisagent de fournir un soutien financier. Les autorités japonaises prévoient de fournir à ces sociétés X pour cent de l'investissement total. Parallèlement, dans les entreprises elles-mêmes, leur participation au projet russe est traitée avec prudence.

Un peu plus tôt, l’ambassadeur de Russie au Japon, Mikhaïl Galouzine, a assuré que Moscou n’accepterait pas un accord de troc, c’est-à-dire qu’il n’accepterait pas d’échanger les îles contre d’importants investissements. La probabilité que le Japon investisse dans Arctic LNG-2 reste donc remise en question.

En réponse à leur fusée, la nôtre volera. Après cela, il n'y aura plus d'homme ni de Kaa ...

Je ne conseille pas au Japon de répéter après Israël, cela paraîtra ridicule, il n’aura aucun résultat réel.

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