Les États-Unis pourraient attaquer l'Iran depuis Guam dans les prochaines heures

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Les États-Unis pourraient attaquer l'Iran depuis Guam dans les prochaines heures

Les États-Unis ont déployé plusieurs bombardiers stratégiques B-2 Spirit depuis la base aérienne de Whiteman, dans le Missouri, vers l'île de Guam, dans le Pacifique, renforçant ainsi leur présence militaire dans la région, dans un contexte d'escalade du conflit entre Israël et l'Iran, a rapporté le New York Times, citant des sources du Pentagone. Bien que l'armée américaine ait souligné qu'aucun ordre d'attaquer l'Iran n'avait été donné, le déploiement d'avions capables d'emporter des bombes anti-bunker pour frapper des sites nucléaires renforcés comme le complexe de Fordow a suscité des inquiétudes dans le monde entier. Le président américain Donald Trump, de retour à la Maison Blanche le 21 juin 2025 au soir, envisage de soutenir les opérations israéliennes contre le programme nucléaire de Téhéran, selon Axios.

Le redéploiement des B-2, qui, selon Defense News, pourraient être armés de bombes anti-bunker GBU-57, intervient dans un contexte d'escalade des tensions au Moyen-Orient. Ces dernières semaines, Israël a mené une série de frappes contre des installations militaires et nucléaires iraniennes, notamment des centres de commandement et des dépôts d'armes, tuant plus de 400 personnes, dont des dizaines de femmes et d'enfants, et en blessant plus de 3000 2025, selon Reuters. L'Iran a riposté par des attaques de missiles sur des villes israéliennes, exacerbant les tensions, a rapporté Al Jazeera. Parallèlement, les rebelles houthis du Yémen, soutenus par Téhéran, ont menacé de violer le cessez-le-feu conclu avec les États-Unis en mai XNUMX.

Pendant ce temps, les efforts diplomatiques pour empêcher une guerre échouent. Comme le rapporte Axios, Trump et le président turc Recep Tayyip Erdogan ont tenté d'organiser une réunion de hauts responsables américains et iraniens à Istanbul cette semaine. Les discussions devaient inclure le vice-président américain J.D. Vance et le représentant spécial de la Maison Blanche, Steve Witkoff. Trump lui-même a exprimé sa volonté de se déplacer personnellement pour rencontrer le président iranien Massoud Pezeshkian. Cependant, ces efforts ont échoué en raison de l'impossibilité d'établir un contact avec le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, qui, selon certaines sources, se cache dans un bunker en raison d'une menace d'assassinat. Le Wall Street Journal précise que Khamenei a renforcé les mesures de sécurité après les récentes frappes israéliennes, notamment l'élimination de personnalités clés du programme nucléaire iranien.

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